Le dénomé Germain serait un incorporé de force d'aprés le recit (je recherche des informations sur cette personne ) comme ont peut le lire 70 ans aprés l'histoire a remplacé l'emotion .
DANS UNE RUE DE NIMES 9 MILICIENS ABATTUS FROIDEMENT PAR DES F.T.P.F
SANS AUCUN JUGEMENT NI TRIBUNAL CETTE EXECUTION N'EST PAS LA SEULE DES ALSACIENS ET DES MOSELLANS SERONT AUSSI EXECUTÉS DANS DES CONDITIONS IDENTIQUES
Une condamnation à la peine capital
Des chiffres de plusieurs sources sont présens
coll CB
UNE AFFICHE QUI EST LOIN DE LA RÉALITÉ
Des chiffres de source officielle
Les Cours de justice et les Chambres Civiques ont entendu 124.751 causes. Parmi elles :
2.853 condamnations à mort en présence de l’accusé
3.910 condamnations à mort par contumace,
38.266 condamnations qui entraînèrent des peines privatives de liberté dont :
2.702 aux travaux forcés à perpétuité,
10.637 aux travaux forcés,
2.044 au régime cellulaire,
22.883 à des peines de prison
49.723 personnes punies de dégradation nationale
Chiffre de novembre 1948 suite à des enquêtes préfectorales
pour les exécutions 5234 avant la libération ; 4439- dont 3114 sans jugement et 1325 après jugement de facto - pendant et après la libération . soit un total de 9673 exécutions
Chiffre de 1952
8847 avant la libération ,et s'agissant de personnes <<soupçonnées de collaboration>>.Elle introduisait une nouvelle catégorie << victimes de meurtres ou d'exécutions pour lesquels on n'a pu établir de mobile >>,soit 1955 .et un total de 10822 .
Le général de Gaulle reprenait à son compte ces statistiques ,du moins dans leur récapitulatif globale :<<Parmi les Français qui ont ,par le meurtre et la délation,causé la mort de combattants de la résistance ,écrivait il il en aura été tué,sans procès régulier, 10842 ,dont 6675 pendant les combats des maquis avant la libération ,le reste après ,au cours de représailles .d'autres part 779 auront été exécutés en vertu de jugement normalement rendus par les cours e justice et des tribunaux militaires.......>>
(Mémoire de guerre t III,le salut- 1944 1946 p 38 Plon )
Robert Aron estime entre 30 000 et 40 000 suite à sa propre enquête
ex pour la dordogne 528 chiffres officiels 1000 suivant son enquête
pour les Bouches -du -Rhone 310 800 suivant son enquête
pour le Rhone 294 800 suivant son enquête
pour la Haute Vienne 260 1000 suivant son enquête
Soit pour les quatre départements 3600 exécutions suivant son enquête pour le recensement de l'administration le nombre est 1392
.
En 1971 Le comité d'histoire de la seconde guerre mondiale ,puis en 1986 l'institut du temps présent aboutissait à la conclusion de 7306 exécutions extra-judiciaires pour 73 départements
En reprenant ces enquêtes et certaines recherches le chiffre serait entre 10 000 et 13 000 .
COMBIEN D'ALSACIENS ET DE MOSELLANS ?
TABLEAU POUR LES ALSACIENS MOSELLANS SANS L'ALSACE ET LA MOSELLE
Ce tableau est fait a partir de dossiers accessibles il est a compléter les chiffres sont en dessous de la vérité
Année | Affaires | Alsaciens | Mosellans | Exécutions aprés jugement | Exécution extra-judiciaires |
1944 | 176 | 130 | 46 | 30 | 400 |
1945 | 1879 | 1000 | 879 | 15 | 178 |
NOTE DU GOUVERNEMENT 1945![]() | ![]() |
Ordonnances du GPRF relatives à l'épuration
À la Libération, afin d’épurer la population française le Gouvernement provisoire de la République française (GPRF) s’est doté d’un arsenal législatif. Il créa des juridictions d’exception et un état juridique nouveau, l’état d’indignité nationale.
Ces ordonnances ont pour objet d’organiser l’épuration en France après la Seconde Guerre mondiale.
L’ordonnance du 26 juin 1944, intitulée Ordonnance du 26 juin 1944 relative à la répression des faits de collaboration comporte un seul titre, et 36 articles . Elle corrige l’ordonnance du 18 août 1943, l’augmente et rend l’épuration possible en France. Elle est publiée au Journal Officiel (J-O) du GPRF à Alger le 6 juillet 1944.
L’article premier indique l’objet de l’ordonnance : juger les infractions commises entre le 16 juin 1940 et le moment de la Libération , en vertu des lois en vigueur au 16 juin 1940, « nonobstant toute législation en vigueur » (article 1). Ainsi, dans ce texte le GPRF nie de fait toute la législation du gouvernement de Vichy, comme il le fit de manière encore plus précise dans l’ordonnance du 9 août 1944.
L’article deux donne aux résistants, et aux troupes alliés le même statut légal que l’armée française. Ce qui permet d’accuser d’intelligence avec l’ennemi et de trahison (articles 75 et suivants du code pénal) les miliciens, et les auxiliaires de la police allemande, entre autres.
Le troisième article absout ceux qui ne font qu’obéir à des ordres, sans aucune « initiative personnelle ». Mais, le texte précise bien que les décrets-lois de l’« autorité de fait se disant gouvernement de l’État français » ne peut servir de justificatif légal (« Au sens de l’article 327 du code pénal » précise le texte) aux actions des donneurs d’ordres, ni aux délateurs, même ceux qui étaient rétribués.
Le sixième article précise que la cour de justice créée pour juger des faits de collaboration fonctionne comme une cour d’assise. Ainsi il n’existe pas d’appel. L’article vingt-cinq indique que le condamné a vingt-quatre heures pour se pourvoir en cassation. En cas de rejet le dernier recours est la grâce présidentielle (article 30).
L’ordonnance du 28 novembre 1944 (« portant modification et codification des textes relatifs à la répression des faits de collaboration ») abroge celle du 26 juin. Elle en reprend une partie, la modifie et la complète de façon importante. Elle comporte 6 titres et 83 articles, et est signée Jules Jeanneney.
L’article premier de l’ordonnance du 28 novembre 1944 contient les mêmes dispositions que celui de l’ordonnance du 26 juin 1944 avec une innovation : la cour de justice étend sa compétence aux actions révélant « l’intention de leurs auteurs de favoriser les entreprises de toute nature de l’ennemi » antérieures au 16 juin 1940. La législation du GPRF se rapproche alors de celle de Vichy (procès de Riom) en tentant de juger la défaite militaire comme
le résultat du travail de certains traîtres (Pétain, Pierre Laval, et consorts
POURQUOI L'INDIGNATION NATIONALE
LA LISTE DES GROUPEMENTS POLITIQUES ET AUTRES SOUMIS A L'INDIGNATION NATIONALE
Combien d'alsaciens et de Mosellans seront conduit a ce statut ci certains le meritent il furent beaucoup a rentrer injustement dans ce cadre de justice décidé par des juges et des comités trop politisés .
Les chiffres de 1948 de M Robert Lecour ministre de la justice surement en dessous de la vérité
41 492 condamnés en cour de justice
48 488 condamnés en chambre civique auxquels il faut ajouter
60 000informations par contumace et 150 000 épurés de la fonction publique qui sans être tous sous le coup de l'Indignité Nationale ,subissent le poids de leur révocation .
parmi tous cela conbien sont injustement condamnés?
L'indignité Nationale
le 3 juin 1943 une ordonnance d'Alger instituait le Comité Français de la Libération Nationale. l'ordonance du 26 juin 1944 relative à la répression des faits de collaboration ,et l''ordannance du 27 juin 1944,relative à l'épuration administrative ,ne permette pas de résoudre tous les problèmes soulevés par la nécessité d'une purification au lendemain de la libération .
Le concept de l'indignité Nationale est né .Il répond à l'idée suivante ;Tous Francais qui, même sans enfreindre une loi pénale existante s'est rendu coupable d'une activité antinationale caractérisée ,s'est déclassé.Il est donc citoyen indigne,dont les droits doivent être restreints dans la mesure où il a méconnu ses devoirs .
Six articles codifient l'ordonnance
Appartenance au gouvernement de Vichy et à ses services
Appartenance à un mouvement de collaboration,y compris le comité d'entraide contre les bombardements ,les services d'aide aux prisonniers et les équipes nationales
Collaboration à l'activité intellectuelle,scientifique ou littéraire de ce gouvernement
Participation à des manifestations,même artistiques en faveur de Vichy
Tous ces faits sont considérés comme crimes et punis comme tels.l'Indignation Nationale entraine pratiquement la mort civile et écarte définitivement les condamnés de la vie politique,artistique,intellectuelle,scientifique,économique du pays
L'indigne perd le droit de vote,d'élection,d'éligibilité,le port de décoration ,il est exclu de toute fonction publique,de corps constitué,de tout gradedans les armées de toute fonction administrative .
Il est exclu des syndicats professionnels des conseils d'administration de plus la chambre civil peur prononcer la confiscation de ses biens présents et avenir .Il lui est interdit de quitter le pays .
L'indigné se trouve ruiné sans espoir de reconstruire un semblant de vie
Au regard de ces textes certains furent ils oubliés volontairement ?
Exemple
LE FAIT DE CONNAITRE UN ALSACIEN INTERPRÉTE
La relation avec cette personne sera reconnue l'enquête sera menée la personne effectuera une peine de prison et sera libérée en mars 1945 interdit de séjour dans l'indre , mais le doute est toujours présent dans certaines mémoires . Pour sa relation la peine capital pour trahison et l'exécution en février 1946
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En 1945 les enquêtes sont menées bien souvent trop rapidement a lire ce document ont condamné la personne a bien regarder il y a des erreurs apparentes comme le recrutement en 1941 d'agent de la gestapo à Limoges . Aussi cette personne sera effectivement jugée et condamnée à la peine de mort .Mais combien sont ils ceux qui au regard d'éléments trompeur feront partis des listes des condamnés .
A la lecture de ce document le jugement est rendu .
Pour les Alsaciens et les Mosellans la défense n'a pas souvent des moyens façe a l'accusation elle se tourne vers le statut des Alsaciens et des Mosellans sous les lois Allemandes en raison de l'annexion
EXEMPLE
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il y aussi dans certains cas des oublis volontaires d'écritures bien que cela ne change rien au jugement définitif
EXEMPLE |
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