19 HEURES DE VOYAGE CHATEAUROUX PARIS DÉBUT NOVEMBRE 1940 POUR DES RÉFUGIÉES
Des réfugiés d'Alsace et de Moselle de passage à Vierzon
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Cette page reprend un article du journal la semaine du 17 novembre 1940 en couverture la photo du chef de gare de Montoire-sur-loir .Dans cette revue un article sur le voyage de réfugiés dont certains sont des Alsaciens et des Mosellans réfugiés dans l'Indre qui vont rejoindre leur ville ou village en passant par Paris ,dans ce train aussi des enfants de Paris et sa région .
Une famille Alsacienne a vécue des heures très difficiles , les conditions étaient affreuses et bien souvent le manque de moyen pour des soins était présent , la nourriture, l'eau, mais surtout le manque total d'organisation et dans certains cas le manque de respect de la personne humaine feront que pour beaucoup de personnes réfugiés ce train restera celui de la honte . Comme le récit peut le confirmer ,bien que celui-ci date de l'époque mais les faits sont là . A leur arrivée à Strabourg cette famille sera conduite a témoigner des conditions du voyage auprès des autorités Allemandes celles-ci feront parvenir le rapport à Vichy. ,Pour certains enfants de réfugiés cela fut plus difficile de retrouver les parents . Il faut savoir que cet événement fut exploité par une partie de l'opinion politique de l'époque .Dans une ville comme Vierzon la personne décédée fut conduite à l 'hôpital ou son corps fut entreposé puis il fut enterré . ( actuellement pas de trace de ce décès ) à Vierzon la discrétion était de mise .Les services de la SNCF ne feront rien officiellement pour ce train seul des actions individuelles vont permettre a certains d'avoir des soins et un peut de nourriture et d'eau .
les photos sont celles de l'époque ainsi que les textes .La famille Alsacienne est retournée dans leur village de H....................ou elle a préférée oublier cette page de sa vie..
La revue ou l'article est présent
La haine du brancard
L'article dans la revue
Après Paris ils rejoindront leur domicile
POUR EUX LA FIN DU VOYAGE EN ESPÉRANT QUE DES PARENTS SONT LÁ